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Guérir la pression artérielle : retrouver l’équilibre entre tension et relâchement
Quand le cœur apprend à respirer, la vie retrouve son rythme naturel. La pression artérielle est bien plus qu’une donnée médicale.
C’est un langage intérieur, un baromètre émotionnel qui traduit l’équilibre (ou le déséquilibre) entre nos forces vitales, notre rapport au monde et la manière dont nous laissons la vie circuler en nous.
Lorsque le cœur doit battre plus fort pour faire circuler le sang, il nous parle d’une tension intérieure — une lutte entre le contrôle et le lâcher-prise.
Et si la guérison commençait par l’écoute de ce message ?
Comprendre la tension : ce que le corps nous dit
D’un point de vue physiologique, la tension artérielle dépend du cœur, du volume sanguin et de la souplesse des artères.
Lorsque les vaisseaux se resserrent, le cœur doit pomper plus fort : c’est ainsi que la pression monte.
Mais ce langage du corps ne parle pas seulement de biologie — il exprime souvent une histoire émotionnelle et énergétique plus profonde.
Le cœur, gardien du rythme vital, se contracte sous la pression des émotions non exprimées. La tension artérielle n’est alors plus un simple symptôme, mais une réponse d’adaptation, un moyen pour le corps de contenir ce qui n’a pas encore été libéré.
Derrière cette contraction se cachent souvent des schémas de vie enracinés dans la peur ou le devoir :
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le besoin de tout maîtriser,
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la peur de manquer,
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le poids des responsabilités,
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ou encore la difficulté à recevoir et à se détendre.
Le sang symbolise le mouvement, la joie et la vitalité.
Quand il circule librement, nous nous sentons vivants, connectés et en expansion.
Mais lorsque la tension s’installe, c’est souvent le signe qu’une part de nous résiste au mouvement naturel de la vie — qu’elle retient, qu’elle contrôle, qu’elle a peur d’être submergée.
Le corps devient alors le reflet d’un mouvement intérieur figé : la vie ne circule plus librement.
Les messagers invisibles : hormones et émotions
Le système hormonal joue un rôle majeur dans la régulation de la pression artérielle :
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Rénine, angiotensine, aldostérone : elles orchestrent la contraction des vaisseaux et la rétention d’eau.
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Adrénaline, noradrénaline et cortisol : hormones du stress, elles maintiennent le corps en vigilance constante.
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Vasopressine : elle retient les fluides, comme si le corps lui-même refusait de lâcher.
Ces messagers biochimiques reflètent notre état émotionnel.
Sous stress chronique, l’organisme s’habitue à la tension.
Le cœur devient un guerrier fatigué, maintenant la pression pour continuer à avancer malgré tout.
Le lien émotionnel et spirituel
Dans le champ énergétique, la tension artérielle parle du
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déséquilibre entre donner et recevoir.
Trop de pression peut signifier : “je porte trop”.
Trop peu : “je me sens impuissant”. -
lien d’amour avec soi-même et les autres Le cœur, centre de la circulation, est aussi le centre de l’amour. Il relie le ciel et la terre, le moi et l’autre, le passé et le présent. Quand la tension s’élève, c’est parfois l’amour lui-même qui cherche un nouvel espace pour s’exprimer — un appel à adoucir la manière dont nous faisons battre notre cœur pour la vie.
Et la guérison commence précisément là — dans l’écoute bienveillante de cette tension, non pas comme une ennemie à faire taire, mais comme une voix du cœur qui demande à être comprise, apaisée et aimée.
Réserve ta séance
Je permets à la vie de circuler librement à travers moi.
La guérison de la pression artérielle passe par une approche globale :
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Le corps – la fluidité du mouvement
Favoriser la circulation par des gestes doux : marcher, respirer profondément, danser, relâcher les épaules.
Ces mouvements recréent la “souplesse” que le cœur réclame. -
L’esprit – le relâchement du contrôle
Observer les pensées de tension : “je dois”, “il faut”, “je n’ai pas le droit de lâcher”. -
L’âme – la confiance en la vie
Pratiquer la gratitude, le pardon et la douceur envers soi-même.
Laisser tomber le besoin d’être parfait ou fort.
Le cœur guérit quand il s’autorise à être vulnérable.
Guérir la pression artérielle, c’est apprendre à vivre dans le flux, à laisser la vie circuler sans résistance. C’est un retour à la simplicité, à la confiance et à la douceur.
Le cœur sait et il bat au rythme de la vie — lorsque nous cessons de la retenir.
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